- Chantal T. Spitz. « Inexpiable crime contre l’océan ». 2024. → Lire le texte
Pour citer ce texte : Spitz, Chantal T. « Inexpiable crime contre l’océan ». 2024. https://ospapik.eu/publications/ ©Chantal T. Spitz
Ce texte a été lu par Chantal T. Spitz lors du lancement d’OSPAPIK organisé avec le Centre des Métiers d’Art de Polynésie française à Tahiti le 25 janvier 2024. Il est en cours de traduction en anglais dans le cadre du programme OSPAPIK.
- Estelle Castro-Koshy et Jesse Plessis. « La poésie de Flora Aurima Devatine interprétée par le compositeur et pianiste Jesse Plessis : entretien avec Jesse Plessis », Journal de la société des océanistes (trad. Margaux Schepper) 158-159, p. 197-200 → Lire le texte
- Emma Bourges. « VOUS VERREZ PAR VOS OREILLES : L’audiodescription proposée aux personnes malvoyantes et non voyantes dans les musées de France n’est-elle qu’une pollution sonore ? », Canadian Journal of Disability Studies, 13(1), 120-145
- Temiti Lehartel a publié « Ô Moana Nui » dans le dernier Litteramā’ohi (n°28, octobre 2024, p. 99-101). Il s’agit d’un poème écrit pour le lancement du programme OSPAPIK au Musée de Tahiti et des Îles – Te Fare Iamanaha. Ce poème, déclamé en janvier 2024 à cette occasion, contemple l’océan amniotique et exprime à la fois une prise de conscience face à la pollution et une célébration de ceux qui, malgré l’adversité, préservent et transmettent l’essence humaine dans un monde en transformation constante.
- Arnaud Morvan, 2024, « Winds of change: fragments of Jirrawun art history », in Marcia Langton and Judith Ryan (eds), 65,000 Years: A Short History of Australian Art, Thames & Hudson, Sydney, p. 283-289.